Bien-sûr, c’est très violent. Et même, ça fait mal… Oui, lentement, des
plaisirs seraient nés mais Farid s'exige violent. Il sait l’urgence de cette
violence. Utile pour moi, elle ne laisse aucun vide – empli, le vertige s’apaise.
La violence du poing de Farid l’éloigne – mâle dominant – d’une féminité par
lui redoutée.
Farid me blesse, oui. Farid me punit de lui être son envers. Son maudit miroir.
Ce plaisir impur éprouvé en dépit de sa foi, de ses origines, de son
appartenance familiale – le dégoûte. Cette Passion qu’il m’inflige abolit son angoisse
de l’Enfer. Son poing outrageant devient mon Calvaire.
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