Tous
sont partis. Lui tout à son choix de vie. L’autre pour une fille.
Celui-ci pour un meilleur salaire. Cet autre, rappelé à l’univers. L’un
par dégoût, même. D’autres – beaucoup, hélas, mais ça étonnera qui ? –
endettés.
Soucieuse
de ma mise, la solitude me maquille. Prend soin de ma personne fragile.
Me vêt. M’isole. Me tatoue dans le dos des paroles préventives. Ce
calme m’isole. Involontaire camisole.
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