Bââdaboum !
Bigbadaboum ! Sur sa bouille orangée, sont gravés l’effroi et
l’angoisse, la surprise. Ainsi Leeloominaï Lekatariba Lamina-Tchaï Ekbat De
Sebat résume-t-elle sa chute sur Terre. Boum !
Bââdaboum ! Bigbadaboum !
Ce mardi 19 août, restaurant. Elégant, attirant. Courtisé, je succombe à sa
parole, aux miroirs de ses mots. Les perspectives ainsi offertes me poussent à
n’être que moi.
Qu’a-t-il dit en partant ? Que « un coup de cul ne méritait pas un tel risque », c’est
ça ? Marmonné, là, sur le seuil de la porte. Petit tas de boue humaine
ridicule de misère.
Bââdaboum !
Bigbadaboum ! Boum ! Bââdaboum ! Bigbadaboum ! Le monde
est donc revenu à sa part absurde, brouillé par mes larmes. Mais à quoi bon
puisqu’elles ne font pas s’enfuir mon mogwaï (*) ?
(*) Cliquez sur le
mot pour plus de détails.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire