
Cinquante mètres plus bas, la nuit m'enveloppe définitivement. Il n'a pas suivi. Six minutes après, trop seul, le chemin inverse. Resté aux arbres, son énorme sexe entre ses mains agitées m'aimante. La cigarette éteinte embaume son haleine. Son corps ferme recherche mon plaisir. Et ses mains. Puis sa langue.
A mon seul regard s'offre un monde enfoui sous des gravas sociaux. Son plaisir (ou le mien) atteint, ce corps encore juvénile repartira sous ces décombres. Cet exil culturel m'attriste. Mes narines s'encombrent de cette triste odeur un peu sucrée, parfum sué de la peau lavée du matin. Che-Nen, enivrant, sentait cela aussi. Se prénomme-t-il ? Cela non plus, je ne le saurai jamais.
A mon seul regard s'offre un monde enfoui sous des gravas sociaux. Son plaisir (ou le mien) atteint, ce corps encore juvénile repartira sous ces décombres. Cet exil culturel m'attriste. Mes narines s'encombrent de cette triste odeur un peu sucrée, parfum sué de la peau lavée du matin. Che-Nen, enivrant, sentait cela aussi. Se prénomme-t-il ? Cela non plus, je ne le saurai jamais.
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