Inconnues, leurs destinations. Ils
partent, voilà tout. A peine revus, si peu frôlés, déjà ils partent.
Polis certes mais si absents, loins. Pourquoi me parlent-ils puisque je
ne les écoute déjà plus. Je sais leurs mots d'avance si vains. Je sais
l'issue de nos rencontres, cela m'attriste toujours.
Leurs
odeurs, parfois tenaces, s'entêtent après leur départ. Agréables ou pas,
elles sont les témoins de leur existence. Sans elles, un doute me
rongerait.
Celle de Che-Nen parfois revient à ma mémoire.
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