
Justement,
ce matin, il sort. L'appartement vide s'offre à moi. Papiers
méticuleusement triés, rangés, étiquetés... Maki maniaque. Tant mieux.
Une honte me saisit. Le travail est presque trop simple. Vite balayée,
la honte, par un résultat : en quelques regards, sous mes yeux, une
attestation d'assurance pour ce logement...au nom de Marco T... ! datée
de la fin janvier.
La
honte reprend le dessus, la peur de son retour aussi : je remets en
place tous ses dossiers. Et relit tous les messages sur mon portable de
cette période de fin janvier. Maki y semble chaleureux comme à son
habitude. D'où vient alors cette duplicité ?