Mars
1994, au bout de trois mois, n'y tenant plus : retour au bercail.
Négociations sévères, mea culpa amer. Toute honte bue. Le soir même ,
sans le vouloir, elle me prouve en quelques mots que c'est une
erreur...mais la porte est reclaquée violemment, définitivement. Et pour
longtemps. Du matin au soir et du soir au matin, être emmuré. Accepter
tout de même pour trouver un peu de répit, respirer enfin, se poser, se
calmer. Mais se voir obligé de renoncer à tout. Forcené devenu forçat.
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