Les mêmes affres. Celles de la séparation. Coupure. Culpabilité.
Ma
laideur. Insultes, crachats épais au miroir. Insomnies, cauchemars,
sanglots sanglants. Saleté du corps, odeurs repoussantes fidèles à
l'image renvoyée. Appétit minimal, kilos à perdre puisqu'il me rejette.
Et
des sms. Une logorrhée de sms. Toute la nuit. Un torrent. Une rivière.
Un fleuve enfin. Des mots méchants, hideux, sales. Mouillés des larmes
salées. Et puis des excuses. Plates. Inutiles. Vaines. Aucune réponse de
toute manière. N'importe quoi ensuite : kvidjio gugodgiojov
hdyeèyeèyzèe zyèysy dydèsyt èdystèy dètyrèisytièhèifhè resd hf. Ou
quelque chose dans ce genre-là.
Et
on éteint le portable. Eviter qu'il ne serve de potence. Il y a bien
une vague idée de mort volontaire. Mais lointaine, l'idée. Evanescente,
puisque j'écris ici que... Sauter en l'air... Boum !
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