« Y'en
a, vraiment... Mais vous, vous êtes propre ! » Le type sur le siège
passager – que je ramène dans son quartier – exprime sa joie ainsi.
Content de vivre, le gamin, parce que sa capote était restée
nickel-propre en ressortant... Lui dire qu'il peut me tutoyer
désormais ? A quoi bon ?

Peut-on ?
Doit-on ? Pourquoi faire le deuil d'un amour ? Tout s'amenuise : la
chaleur suffocante de ces derniers jours, le gamin satisfait à l'aube de
sa vie, l'histoire de Maki.
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