Le lit est vide depuis l'autre matin, son train l'a emmené là-bas où le travail l'attend. Le
lit est bien triste au réveil de cette sieste, à l'instant, qui emplit
de son odeur mes narines. Je cherche à tâtons dans la pénombre de la
chambre un corps impossible. Maki est parti depuis deux jours et je me
réveille seulement.
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