Le lit est vide depuis l'autre matin, son train l'a emmené là-bas où le travail l'attend. Le
lit est bien triste au réveil de cette sieste, à l'instant, qui emplit
de son odeur mes narines. Je cherche à tâtons dans la pénombre de la
chambre un corps impossible. Maki est parti depuis deux jours et je me
réveille seulement.
_3033835-L.jpg)
_3033836-M.jpg)
_3033837-L.jpg)
_3033856-S.png)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire